Pascal Mathieu
D’abord il y a Pascal, âme portée par une subtile dérision.
Des textes lus, offerts en s’excusant de ce funambulisme lexical.
Puis il y a Mathieu, dans le noir désespoir.
Des chansons senties, mentales. Des paroles sentimentales.
Enfin, il y a Pascal Mathieu et son regard d’enfant sur l’inhumaine humanité, ses paupières closes sur un cœur écorché.
Pascal Mathieu.
Deux prénoms et des contrastes.
Jicé Baverel
Octobre 2016